mes vies

Voici donc en images mes petits carrés… Ceux au crochet, d’abord :

j’en ai trois de plus à l’heure actuelle. J’ai utilisé jusqu’au dernier centimètre de ces trois fins de pelote (Pronostic de Phildar), ce qui me procure une intense satisfaction. J’attaque maintenant d’autres restes, je sens que je vais adorer ces petits carrés qui me permettent ENFIN de me libérer des dizaines de petits pelotons que je stocke faut d’être capable de les jeter…

La Mystery Blanket, maintenant : je suis passée de ça :

à ça :

(grafting des côtés, puis relevage des mailles centrales pour tricoter le mini-carré en mauve (un reste (oui, ENCORE) de pure laine phildar, j’ignore si j’en aurai assez pour remplir tous les centres… Le comble serait que je doive acheter une pelote alors que le but est d’éradiquer les restes…).

Dimanche matin, bébés-nageurs pour Malo et son papa, malgré les premiers sifflements annonciateurs d’une crise d’asthme… Et dimanche après-midi, une amie de l’Homme qui dirige un centre équestre nous propose de venir au centre pour manger la galette et pour

monter Polka, le poney préféré de Malo…

Quand j’ai établi ma liste de 101 choses à faire, j’ai mis “initier Malo à l’équitation”. C’est  chose faite, et même plus que faite. Malo adore monter, il se débrouille comme un chef, il sait même trotter… J’adore le voir donner des petits coups de mollet à Polka (qui ne sent strictement rien vu leurs gabarits respectifs…), et faire claquer sa langue en disant “Allez Polka, au trot !!”.

On lui a promis de l’inscrire à un club l’année prochaine (hélas ce ne sera pas celui-là car c’est trop loin… trois quart d’heure de route pour aller et autant pour revenir, c’est vraiment trop pour une activité qui ne concerne que Malo (Eléa aussi devra se taper les trajets, et elle elle ne montera pas !), qui durera au mieux une heure… Trop long, trop cher (vu le prix du gasoil !) et trop polluant, sachant qu’il y a plein de clubs autour de la maison.)

Allez savoir pourquoi, sur son cheval, en plein vent, avec les Pyrénées en ligne de mire, la crise d’asthme avait totalement disparut… Pour mieux revenir dans la voiture (chauffage = air sec et poussiéreux, bingo !) et s’amplifier dans la soirée. Il a toussé toute la nuit, a finit par venir dormir avec nous, j’ai donc éteint le réveil, et lundi nous avons passé la journée en pyjama, et au lit une bonne partie du temps.

J’ai pu un peu avancer sur la couverture l’Eléa (les 4 premiers carrés sont tricotés et assemblés, photo plus tard), et Malo m’a demandé ce que je tricotais. Il veut lui aussi une couverture… mais bleue. J’y ai vu une bonne occasion de vraiment me mettre au crochet, et d’utiliser des restes de laine, je me lance donc dans une “granny square blanket” comme on dit sur Ravelry… J’ai déjà 5 carrés (ça va extrêmement vite, un carré en quinze minutes…), je suis contente de me débarrasser  de quelques mètres de fil bleu, et j’ai négocié avec Malo l’ajout d’autres couleurs. Je vais quand même essayer de ne pas tomber dans la couverture perroquet qui tronait chez mos grand-mères dans les années 70… Et si mes compétences au crochet me le permettent, je pourrai peut-être bientôt passer à ça : 

En haut dans la barre latérale de ce blog, il y a une catégorie “pages”. Les deux premières pages (”credo” et ma liste des 101 choses) sont là depuis un petit moment, ce sont des articles qui me définissent un peu, ou du moins qui définissent ce que j’ai envie de dire et de faire ici, sur ce blog. Je viens d’ajouter une nouvelle page, “modèles tricot du net”. Comme j’en ai un peu marre de remettre toujours les liens vers les ouvrages que je tricote quand j’en parle dans plusieurs articles à la suite, j’ai décidé de regrouper là les liens vers les modèles gratuits qu’on peut trouver sur le net et que j’ai tricotés.

Donc vous cliquez sur la photo et vous arrivez sur la page des explications, c’est bête comme chou, et je complèterai au fur et à mesure.

j’en ai profité pour indiquer un lexique tricot franco-anglais (quand vous cliquez sur le lien, vous téléchargez le pdf), ainsi que quelques sites qui regroupent des modèles gratuits, ceux que je consulte le plus régulièrement…

Tant mieux si ça peut vous être utile

Les soldes ont été l’occasion de faire encore gonfler mon stock de laine (mais comme dit Annette, “les pelotes c’est du bonheur, alors on n’en a jamais assez”, et il est hors de question de les compter !). Entre autre, de l’Aurore de chez phildar (un fil mohair extra-fin, plus de 400 m par pelote), à 2 euros la pelote, et chez Anny Blatt de la Ksar (laine et poil de chameau, ça a fait rigoler Malo “poil de chameau”, n’empêche c’est d’une douceur incroyable) à 4 euros la pelote, et de la pure laine blanche à 2 euros.

Bien sûr tout ça a été l’occasion de nombreuses recherches sur Ravelry afin d’en tirer parti au mieux.

Pour la Ksar, j’ai envie d’un pull pour moi, surement avec un col V très profond, et des manches 3/4. Pour l’Aurore, j’hésite… Un gilet en dentelle ? (oui mais… Y’a pas de modèles d’une seule pièce, or je n’ai aucune envie de coudre de la dentelle toute fine.) Un châle ?

La pure laine a déjà trouvé son emploi : j’ai laissé tombé l’idée d’une turbulette pour Eléa, finalement je lui tricote une couverture, bien grande comme ça je pourrai l’envelopper dedans. Et ça servira plus longtemps.

J’ai hésité un moment, pour le modèle… J’avais envie d’une construction en “carrés” assemblés : c’est marrant à faire, on tricote un carré en peu de temps (—> satisfaction immédiate d’avoir fini quelque chose), entre deux projets, et puis à la fin on assemble le tout, on peut ajuster la taille de la couverture à la quantité de laine dont on dispose…

J’ai un peu rêvé devant ces modèles : les feuilles, là, et puis les fleurs, là... Mais ces carrés là, il faut les tricoter l’œil rivé à son diagramme… Et puis j’aime tricoter les carrés “en rond” (cherchez pas…), c’est à dire sur 4 aiguilles, en partant du centre et en augmentant dans les diagonales. Alors le modèle s’est imposé de lui-même : la “mystery blanket” d’Elizabeth Zimmermann dans son knitter’s almanac. Le top du top : un carré = moins de deux heures de tricot, une pelote = 2 carrés (moins quelques mètres). Voici mon premier carré : . Les mailles sont laissées en attente à la fin, car les carrés sont assemblés par grafting à la fin : je rentabilise ainsi ma nouvelle compétence !

J’ai aussi sur les aiguilles un projet pour moi : un petit bolero, raglan, tricoté de haut en bas, sans modèle particulier (j’invente au fur et à mesure en m’inspirant de la technique de ce mini-sweater). Je mélange un fil gris 100% acrylique avec de l’Aurore mauve… On verra bien ce que ça donne à la fin, c’est un essai !

Un petit FO pour la route :

Après Merry, j’ai eu très envie d’un petit projet rapide (ben oui, Merry c’est du 18 mois mais comme dit Isabelle, une taille 18 mois c’est aussi long à tricoter qu’un 36 !! c’est plus du tout de la layette…), et comme un petit garçon a vu le jour la semaine dernière, c’était l’occasion : le bonnet de Debbie Bliss avec les restes de baby cashmerino. Je dois faire aussi des chaussons (il reste encore une petite pelote, et tout doit diparaitre).

Elle a sept mois aujourd’hui… La nouveauté (outre les deux incisives du haut qui viennent de rejoindre celles du bas), depuis quelques jours, c’est qu’elle s’entraine à tenir debout “sans les mains”. Elle tient facile quelques secondes, puis retombe sur les fesses et nous regarde, tout sourire…

On la félicite, on l’encourage, et elle est tellement contente !

Elle recommence, encore et encore… On sent qu’elle “teste” son équilibre, qu’elle analyse toutes ses sensations, qu’elle essaye de trouver “le truc”…
Il y a un mois, il lui arrivait déjà de se lâcher, “par erreur” ou presque. Elle “oubliait” de se tenir, pour saisir un objet, ou pour se tourner et regarder quelqu’un derrière elle… Mais elle était surprise de tomber, elle n’avait pas vraiment réalisé.
Maintenant c’est différent, elle essaye vraiment de tenir debout toute seule.

J’ai du mal à réaliser qu’on en soit déjà là, j’ai l’impression qu’elle est encore si petite, un nouveau-né… Où sont passés les 6 derniers mois ? Je ne les ai pour ainsi dire pas vu !

(pour les non Doraphiles, et non anglophones, ça veut dire “Ouais, j’y suis (enfin) arrivé !!!)

À quoi donc, me demanderez-vous ? Et bien, à grafter. Pendant longtemps, je me suis contentée de jeter un coup d’œil aux divers shémas dans mes livres de tricots, puis j’empoignais mon aiguille et je faisais n’importe quoi. Et oui, enfant, je plaçais mes récitations à apprendre sous mon oreiller la nuit, fermement convaincue que ça marchait, que les mots pénètreraient mon cerveau sans autre effort. Ben ça marche pas. Et pour le tricot, pareil : il ne suffit pas de se dire “je vais grafter”. Non. Il faut APPRENDRE à grafter.

Donc, déçue par mes nombreux échecs, j’ai fini par prendre mon gilet, mon aiguille, et mon bouquin de tricot, et suivre pas à pas, scrupuleusement, les dessins. Et vous savez quoi ? Ça marche !!!

Je sais grafter, la preuve en image :

(oui ok il y a quelques mailles un peu distendues; mais franchement, ça n’a rien à voir avec le fouillis que je faisais avant !).

Du coup, mon Merry est fini :

(plus d’image sur Ravelry ou sur Flickr). Enfin, presque fini. Il faut que je fasse les brides pour attacher les boutons… (super ! <—- méthode coué, il parait que celle-là est efficace).

Et, vieux motard, Treillis terminé, avec ses pingouins roses :

Mes petits à moi, mes anges, mes petits démons, mes amours, mes mômes, quoi !

Je prends la suite de deux anciennes co-listiaires, dont je suis ravie d’avoir retrouvé la trace grâce aux blogs…. Murielle, d’abord : la dernière fois qu’on s’est vues, sa fille Louise avait 6 mois (et Malo en avait 13)… Elle vient de mettre au monde son troisième bébé, une belle petite Rose…

Et Sicile : on ne s’est jamais rencontrées en vrai mais on a souvent discuté sur écran, je me souviens bien de son petit Léo, qui a maintenant une sœurette, qui répond au doux prénom de Lilwen… (mes connaissances en breton, malgré mon nom et mes origines, sont assez vagues, mais ça doit vouloir dire quelque chose comme “lys” ou “lys blanc”, ou tout autre fleur blanche…)

Voilà donc mes photos, j’ai vécu tout un dimanche avec mon APN greffé à la main ! Et comme je ne parviens pas à contraindre WordPress à appliquer la mise en page que je veux, je mets toutes les photos “en paquet” à la suite les unes des autres, sans commentaires…

Si vous voulez jouer vous aussi, à vos appareils photo !

La photo de Treillis, tout beau tout propre avec ses petits boutons rigolo attendra (pour l’instant Treillis est au fonds du panier à linge, plein de bave et de lait, et vu le temps c’est pas aujourd’hui que je vais laver des pulls.)

Mais j’ai deux autres gilets (tous pour Eléa) sur le feu. D’abord, Merry (patron ici),

un joli cardigan avec capuche et une grosse torsade. Je l’ai tricoté d’une seule pièce (contrairement à ce qui est préconisé dans les instructions), il ne me reste que quelques cm de capuche pour qu’il soit finit (bon, puis coudre les ourlets et les dessous de bras, et rentrer des fils… pfff) mais en ce moment c’est la petite forme côté tricot.

(”Attends maman, je vais t’aider à prendre des photos pour ton blog. Mmm, pas mauvais le cashmerino !”)

Et puis un autre cardigan-raglan-d’une-seule-pièce, commencé il y a deux ans au moins, abandonné faute de destinataire, tout en coton. Il est bien grand, ce sera parfait pour ce printemps, il faut “juste” que je fasse le grafting de la deuxième aisselle.

C’est un mélange du modèle “Daisy” de Knitty, et d’un cardigan Debbie Bliss de ses modèles pour débutantes.
Comme je ne m’en lasse pas, et comme j’ai découvert sur un blog américain un modèle très mignon, il y aura encore un cardigan pour Eléa, très chouette !!!

Sinon, voici quelques surprises reçues pour mon anniversaire : quelques fleurs (ça fait toujours plaisir)

et une image qui me plait beaucoup, encadrée avec goût, et intitulée “coco-mio” qui décorera très vite mon nouveau salon aux murs tout nus !

Plus d’infos sur l’illustratrice (une nantaise !) sur son space.

Elle a donc eu 6 mois un peu avant Noël, et c’est maintenant une petite personne dont le caractère se dessine de jour en jour…

Une enfant “facile”, (enfin surtout après un bébé aussi intense que son grand frère… Heureusement qu’ils sont arrivés dans cet ordre là !), très gaie, souriante, communicative… Entreprenante, elle aime “faire” des choses difficiles (comme se mettre debout en s’appuyant à peine contre un mur, ou grimper une marche), et ensuite regarder autour d’elle avec une mine si réjouie qu’il est impossible de ne pas partager sa joie et sa fierté.

Elle suce longuement tout ce qu’elle peut toucher, avec une prédilection avérée pour les fils électriques et les fibres diverses (petits brins de laine en particulier) qui abondent chez moi. Mais sa plus grande passion, c’est le papier. Elle repère un petit bout de carton pas plus gros qu’un timbre perdu dans une pièce jonchées de jouets, s’y précipite et se dépêche de l’engloutir avant que j’ai eu le temps de l’en empêcher. Les revues sont un met de choix, mais elle peut parfaitement se contenter de simples feuilles (explications d’un tricot en cours, dessin de Malo, descriptif d’une bibliothèque Ikéa, profession de foi d’un candidat à la mairie de notre village…)

Lorsqu’elle a avalé un morceau de carton trop vite, sans avoir eu le temps de bien le machouiller, ça lui provoque de violentes nausées, et plof, elle me restitue l’objet du délit au milieu d’une mare de lait caillé… Elle a fait ça aussi hier soir dans la chambre de Malo, à cause d’une petite touffe arrachée à une guirlande de Noël. Ensuite elle passe son chemin comme si de rien n’était !

Elle apprécie de lécher un morceau de pomme, de poire ou de carotte, mais là par contre, elle n’avale rien du tout !!!

Elle ne supporte pas que je mange du chocolat : si j’en consomme plus d’un ou deux carrés, et surtout si c’est le soir, elle est remontée comme une pile électrique jusqu’à minuit, incroyable !

À la voir jouer seule pendant de longs moments, observant tout ce qui lui tombe sous la main, on pourrait la croire indépendante, mais il n’en est rien. Le soir de Noël, je l’ai confiée une heure et demie à sa grand-mère (chez qui nous étions depuis trois ou quatre jours, et dans les bras de qui elle semblait ravie) le temps d’assister à la messe de 20h (oui, pas de messe de minuit à St Nazaire !). Elle a pleuré (hurlé même) tout du long… Et par la suite, sa grand-mère a eu beaucoup de mal à regagner sa confiance, elle ne pouvait plus la prendre dans les bras sans qu’elle se tende vers moi en pleurant. Je suis un peu navrée de l’échec de cette première séparation, je ne pensais vraiment pas qu’elle pleurerait, elle semblait calme et gaie quand on est parti, je n’appréhendais vraiment pas de la laisser…

Depuis elle est un peu méfiante et pleure parfois quand je quitte la pièce (alors qu’elle ne le faisait pas avant !). Je lui ai expliqué ce qui s’était passé, je lui ai dit que j’étais désolée de ne pas l’avoir mieux préparée, mieux prévenue… Mais j’ai vraiment le sentiment que sa plus grande certitude s’est écroulée d’un seul coup : et non, sa maman n’est pas toujours là à ses côtés, elle peut aussi partir… à moi maintenant de lui faire comprendre que je finis toujours par revenir, et ce dans des délais très brefs ! (enfin pour moi… Pour un bébé, une heure trente c’est surement très long.)

Bref, c’est notre merveilleuse petite fille, notre petit soleil, notre Eléa…

Je ne supporte plus mon salon. C’est devenu une évidence ces derniers mois, alors que nous nous efforçons de ranger et d’organiser la maison au mieux : le salon est inrangeable, inhospitalier.

Mercredi j’ai trente ans, voilà l’occasion de nous donner un peu d’air : exit l’immense buffet en chêne massif (qui serait magnifique et parfaitement à sa place dans une belle ferme rénovée… Celle dont on rêve… Mais voilà, je n’ai plus envie de vivre dans mes rêves, je préfère habiter ma maison “ici et maintenant”, et si dans dix ans je rénove une vieille maison, et bien tant pis, je vendrai mon Ikea pour racheter un buffet ancien !), exit les étagères sur tous les murs, exit l’horrible meuble TV sombre et mal pratique…

L’idée : habiller un seul mur, de bas en haut et d’un bout à l’autre, d’éléments de rangements (assortis), et laisser RESPIRER le reste de la pièce, les trois autres murs…

Mon souhait : du bois massif, pour éviter l’aglo et son formaldéhyde allergène et cancérogène…

Oui mais… En bois massif, on ne trouve rien de chez rien qui soit à la fois dans nos prix, parfaitement modulable de manière à ne perdre aucun cm2 de mur, et dans nos gouts.

Ou alors, des étagères “de garage” comme je les appelle : des tasseaux en guise de montant et des planches pour étagères, en pin brut de chez brut (une écharde à chaque fois qu’on prend un cd)… et franchement,  je ne vois pas l’intérêt de quitter mon buffet basque pour une déco “garage”.

Alors on pourrait garder l’idée, et économiser 10 ans pour nous payer la bibliothèque Interior’s de nos rêves…

Oui mais j’ai (nous avons) besoin de ce changement, de cette bouffée d’air, maintenant, et pas dans dix ans. Alors je pense qu’il va falloir faire un gros compromis, et nous tourner vers l’ami suédois et ses Billy si bien pensés et abordables… Mais tout en panneaux de particules. Bon, M. Ikea affirme qu’il applique les normes suédoises qui sont les plus strictes au monde, en ce qui concerne l’usage des colles pleines de formol… (mais c’est lui qui le dit…)

Voilà, je peux au choix :

- garder mon chêne massif et mastoque, et continuer de rêver aux meubles que j’aurai, un jour, et à la maison que j’habiterai, un jour…

- jeter 80% de mes livres et de mes cds, et caser le reste dans une seule et belle bibliothèque en bois précieux… (mais là c’est encore trop dur… Même si j’arrive de mieux en mieux à ne pas garder tous les livres que j’achète, même si j’arrive à en acheter de moins en moins, pour les disques c’est encore la thésaurisation  pure et dure…)

- acheter des Billy, “maintenant tout de suite”, en espérant que l’effet “plus d’espace et plus de lumière” compensera l’effet négatif de savoir que ces meubles sont potentiellement toxiques…

… En attendant, si quelqu’un recherche un grand buffet, style basque, en chêne massif, fait sur mesure par un artisan (pas pour nous ! mais pour des grands-oncles et tantes de l’Homme il y a une trentaine d’années), dans la région toulousaine, qu’il me fasse signe, on pourrait s’entendre !