mes vies

blog multidirectionnel : mes vies de mère, de prof, de musicienne, de lectrice, de promeneuse, de dilettante en tout et spécialiste en rien… Et même mes vies de cuisinière, couturière et tricoteuse !

 

Ludique !

Vendredi après-midi, première visite de reconnaissance à la ludothèque. Elle est immense, pleine de centaines de jeux et jouets de tous genres… Quand Malo est entré et a vu tous ces jouets, il a ouvert des yeux comme des assiettes !

On y a passé deux heures, on a exploré les différentes sections, j’ai vu Eléa passionnée par tous les jouets de la “petite maison” : poupon dans un berceau, chaise haute de poupée, table et fer à repasser, dinette, petite cuisine… Quand à Malo, il a repéré immédiatement les châteaux-forts et les chevaliers… Nous avons joué un peu ensemble, puis un “grand” garçon a joué avec lui à construire un circuit de voitures très compliqué, Malo était aux anges.

Nous avons emprunté un drakkar viking écoiffier,  et un jeu absolument génial : Arcadia

C’est typiquement le genre de jeu que j’adore. Il attire et il passionne autant Eléa que Malo, et on peut jouer avec de plusieurs façons, jeux “abstraits” ou jeux “figuratifs” : faire les tours les plus hautes possible, ou construire une petite ville et y jouer avec des “habitants” little people, faire un long tunnel en alignant toutes les pièces, classer les couleurs, ou jouer à plusieurs en inventant une règle du jeu de type “badaboum” : chacun son tour on place une pièce, dans le but de faire la tour la plus haute possible… Jusqu’à ce qu’une pièce de plus finisse par faire s’écrouler tout l’édifice !

Les pièces sont en bois, leur forme est belle, arrondie, les couleurs sont chatoyantes, et grâce à ces couleurs j’ai pu aborder avec Malo la notion de “dégradé” pour la première fois.

Bref, j’en suis fan !

Categorie : scène de la vie de famille, education
Par mes vies
Le 21 septembre 2008
A 8:47
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ça bouge !!

Categorie : education
Par mes vies
Le 27 juin 2008
A 7:54
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Premiers signes…

Éléa va avoir un an la semaine prochaine… Il y a déjà un bon moment (2 mois ?) qu’elle fait “au revoir au revoir” ou “bonjour bonjour” avec la main, parfaitement à propos. Elle fait aussi les “petites marionnettes”, et “caché… coucou !” (photo du haut), j’ai donc commencé à signer “sérieusement” (je signais un tout petit peu depuis ses premiers mois, mais sans trop de constance, étant plus focalisée sur ses signaux concernant l’élimination).

Elle a très vite compris, signe “téter” quand elle tète ou quand je lui propose le sein, accompagné de son mot qui veut tout dire : “Ta-ta”. Quand elle fait pipi ou quand je lui propose de faire pipi, elle signe pipi en disant “Ta-ta”. Elle signe aussi “encore”, mais sans trop comprendre ce que ça veut dire, juste par mimétisme, et puis elle a un nouveau mot pour tout ce qui concerne la nourriture solide : “mam-mam” (”miam-miam” pour ceux qui n’auraient pas compris !!).

Avec Malo nous avons pas mal utilisé le baby-sign, il a signé “téter” vers 9 mois, il a beaucoup utilisé “encore”, et “changer la couche”, ainsi que quelques signes “alimentaires” comme “compote”, “pomme”, “banane”. Mais comme il a parlé très vite, vers ses 18 mois nous n’avions plus besoin de signes pour communiquer.

Mon vocabulaire est très restreint du coup, mais si Éléa “accroche” bien avec les signes, j’aurai peut-être l’occasion de l’élargir un peu ?

Si le sujet vous intéresse, voici quelques liens :

- signe avec moi : l’association française, née il y a 2 ou 3 ans (quand j’ai commencé les signes avec Malo elle n’existait pas encore).  Il y a la liste des ateliers organisés dans toute la France pour apprendre les signes; ils éditent du matériel (livre, DVD, posters, mémos…)

- dictionnaire de signes en video (Attention ! Langage des signes américain : différent de la LSF (langue des signes français).

Le premier dictionnaire en video (toujours americain) que j’utilisais quand Malo était bébé n’existe plus, malheureusement. J’ai retrouvé mes premiers mails sur ce sujet, datant de Juillet 2004 (Malo avait 4 mois, ça nous rajeunit pas !)…

(je précise que l’approche américaine du “baby-sign” est assez différente de l’approche française : sur tous les sites américains de signes pour bébé, on trouve aussi des “méthodes” pour apprendre la propreté à son enfant avant 2 ans, j’ai vu également un témoignage d’une maman dont le bébé “lit” des mots et des phrases à 13 mois, et qui pense que l’usage précoce du baby-sign a aidé son bébé à apprendre à lire… Bref, un peu le concours du bébé qui sera le plus précoce, qui saura faire le plus de choses le plus tôt possible… Alors qu’au départ, le but des signes, c’est seulement de proposer à l’enfant un moyen de se faire comprendre, pour éviter les frustrations et les crises de colères qui peuvent survenir quand un bambin veut précisément quelque chose mais qu’il n’arrive pas encore à articuler le mot, et donc son entourage ne comprend pas ce qu’il veut. J’ai connu une petite fille de 2 ans qui se roulait par terre en hurlant dans la cuisine 10 fois par jour, et sa mère énumérait et montrait tout le contenu de ses placards. Quand enfin elle sortait le bon paquet de biscuit ou le chocolat ou les céréales pour biberon, la gamine s’arrêtait immédiatement, et prenait sa collation comme si de rien n’était. Ça aurait surement pacifié les relations familiales si la petite avait su faire 3 signes simples : chocolat, gâteau, biberon !)

Categorie : scène de la vie de famille, maternage, la geekette surfe pour vous, photo, education
Par mes vies
Le 17 juin 2008
A 8:43
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évaluer…

Voilà que ma problématique du moment - “pour” ou “contre” l’école, pour résumer et shématiser grossièrement - refait surface… Entre 2 devis de déménageurs et 2 coups de fils à des agences de là-bas (”Non, on n’a rien, non on prend pas votre n° de téléphone, z’avez qu’à rappeler dans une semaine !”), mon fils à moi que j’ai, ma merveille, mon petit génie, revient de l’école avec une liasse de papiers sous le bras. Je prends la chose, et que vois-je ? “… ÉVALUATIONS…”

Donc voilà, ma merveille de tout juste quatre ans, en petite section de maternelle, vient d’être évalué. Sur tout un tas de trucs, qu’il a “acquis” selon sa maîtresse, ou qu’il est “en train d’acquérir”.

Déjà ça me plait pas trop… ces gosses sont encore a peu près insouciants, et PAN en leur faisant croire qu’ils s’amusent à colorier les lapins ou à entourer le chiffre 2, on les évalue à l’insu de leur plein gré (et de celui de leurs parents… franchement je n’imaginais pas une seule seconde qu’il y eut des évaluations en maternelle. Surtout en petite section.)

Ensuite, je lis un peu plus dans les détails, et voilà les SEULS commentaires de la maîtresse :

“Malo à tendance à faire que ce qu’il veut” (sic). Et toi t’as tendance à faire des fautes de français…

“Malo n’aime pas colorier”

la dernière : sur la ligne “est capable de produire un travail soigné”, elle a coché “eca” (”en cours d’acquisition” pour les non initiés) et elle a rajouté à la main “s’il le désire”.

Suit tout un “bilan” du langage, où la seule chose qui est mise en avant est le zézaiement de Malo.

Rien sur l’étendue de son vocabulaire ni son aisance à prendre la parole… Rien sur le fait qu’il sache dénombrer jusqu’à 5, additionner et soustraire dans la limite où le plus grand nombre ne dépasse pas 5 (”Tu vois maman, (me montrant les 2 gâteaux restant dans le paquet), si z’en avait pas manzé 2, il en resterait 4 !”)…

Rien de sympa ou de positif sur lui. Et ce tas de papiers va -c’est écrit dessus- le suivre toute sa scolarité. On pourra donc lire, quand il passera le bac, qu’il a acquis à l’âge de 4 ans des “compétences” telles que décrire une image en utilisant des adjectifs et des verbes d’action, dénombrer jusqu’à 3, appliquer les règles de politesse, prendre la parole spontanément, demander de l’aide à l’adulte, être autonome dans son travail, dans le rangement, savoir s’habiller seul, et j’en passe bien d’autres. On lira aussi qu’à l’âge de 4 ans il n’aimait pas colorier (et moi je ne le lis pas comme une simple constatation, mais comme un jugement : sinon elle aurait mis “il aime bien découper et coller mais pas colorier”… Non, juste “Malo n’aime pas colorier”. Et c’est mal. Il n’a pas le droit de ne pas aimer ça.), et qu’il ne faisait bien que les choses qui lui plaisaient.

Là encore, c’est un jugement négatif. Alors que pour moi c’est plutôt une bonne chose, qu’à 4 ans un enfant ait encore la possibilité de choisir de faire certaines choses et pas d’autres ! Il est à l’école pour devenir un citoyen capable de penser par lui-même, ou un ouvrier corvéable à merci ??

Bref, je suis dégoûtée, qu’un enfant de 4 ans soit non seulement évalué, mais jugé, déprécié, par sa maîtresse…

L’Homme était aussi remonté que moi… Il a carrément sa théorie sur l’utilité de telles “évaluations” : selon lui, elles ne sont là que pour plonger les parents dans la réalité du système éducatif, dans lequel leur enfant sera constamment jugé, et ses “faiblesses” (ou plutôt ses différences par rapport à ce qu’on attend de lui à cet âge précis) pointées du doigt, sans jamais que ses points forts ne soient mis en avant…

Ce soir il ne faudrait pas beaucoup nous pousser l’un et l’autre pour que, renonçant à nos “principes”, on prenne la décision d’instruire Malo nous-même ! ou plutôt de le laisser s’instruire seul, ce qui a toujours très bien fonctionné jusqu’à présent (cf le “cours” sur l’utilité de la côte de maille qu’il vient de m’infliger à l’instant… en général quand il me parle d’un sujet qu’on n’a jamais abordé ensemble, je lui demande “et où as-tu appris ça ?” il me répond invariablement “c’est grand-mère”, ou “c’est Clovis” (son copain) ou encore, plus fréquemment, “ze l’ai deviné tout seul”. -je vois pas pourquoi il va à l’école, il a la science infuse !!!)

Nous verrons l’année prochaine, dans une autre école (celle-ci est particulièrement “gratinée” de toutes façon) comment les choses se passent… Espérons qu’on va rencontrer des enseignants qui nous rendront notre foi en cette institution !

Categorie : education
Par mes vies
Le 29 mai 2008
A 20:31
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ça sent le vécu…

Maé a trois ans, une langue bien pendue et un papa qui met en bd ses petites bêtises.

C’est excellent et vous trouverez tout là.

Un petit avant-goût pour vous donner envie :

Categorie : la geekette surfe pour vous, education
Par mes vies
Le 8 mai 2008
A 10:04
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De Naouri à l’égalité des chances…

Vous n’êtes peut-être pas sans savoir que M. Aldo Naouri vient de nous pondre un nouvel opus, dont vous pouvez avoir un aperçu ça et … Je ne reviendrai pas en détail sur les “conseils” que nous assène ce pro des enfants : “Ne doutez jamais” (Descartes, prend ça dans ta face), “A deux ans, on prend le doudou et la sucette et on les met à la poubelle sans aucune explication” (et moi je vais venir chez toi, et mettre à la poubelle ton camembert et ton jambon. Comme ça, arbitrairement. C’est pas bon pour toi de toutes façons.) “Si votre enfant vous pose des questions sur la sexualité, répondez-lui de se trouver un copain ou une copine pour lui fournir les explications qu’il réclame. On ne doit pas parler de sexualité avec ses enfants.” (sans commentaires…)

Mais il y a une phrase dans son interview à ELLE que je voudrais commenter :

ELLE. Nous étions déjà traumatisés par le fameux : « Tout se joue avant 6 ans ». Aujourd’hui, vous nous dites que c’est avant 3 ans que tout se jouerait !
ALDO NAOURI. Je ne raconte pas du tout ça ! Je suis parti d’un état de fait : chaque année, 60 000 enfants quittent l’école avec moins de 500 mots de vocabulaire. Alors, je dis aux parents : « Eduquez vos enfants, et, ensuite, l’effort qu’ils auront à faire à l’école sera beaucoup moins difficile pour eux. » Comme, en France, l’école commence à 3 ans, il est fondamental de délivrer le plus gros de cette éducation avant la fin de la troisième année.

(je passe sur “l’école commence à trois ans”, qui est peut-être une vérité “de fait”, mais qui occulte le fait que 1) l’école n’est pas obligatoire (mais l’instruction, si), et 2), c’est seulement à partir de 6 ans. Mais bon, c’est vrai qu’une grande majorité d’enfant va à l’école à 3 ans.)

Revenons sur son « Eduquez vos enfants, et, ensuite, l’effort qu’ils auront à faire à l’école sera beaucoup moins difficile pour eux. ».

Ben oui, je suis à 100 % d’accord avec ça, dans le sens où un enfant qui vient d’un bon milieu culturel, à qui on lit des livres, qu’on emmène au spectacle, ou visiter des musées, des monuments, qu’on “sort” tout simplement, et à qui on parle, on explique le monde, un enfant dont les parents ont une vie culturelle riche (et un vocabulaire important) entre en effet à l’école avec de bien meilleures chances de réussite que l’enfant d’une famille où la seule pratique culturelle est la télé, et où on utilise un vocabulaire ultra réduit… Mais à quoi ça sert de dire à une famille très défavorisée “Donnez beaucoup de vocabulaire à votre enfant, ça l’aidera à l’école” ? S’ils le pouvaient, ils le feraient, non ???

Et, cas inverse, je ne connais aucune famille avec un bon niveau culturel qui ne fasse pas partager ses pratiques culturelles à ses enfants !

Je me souviens, il y a quelques années (dix ans au moins !) avoir entendu un philosophe (il  me *semble* que c’était Luc Ferry…) sur France Culture, parler de l’école, dire que l’école était “l’exotisme”, qu’elle avait pour mission de sortir l’enfant de son milieu, de l’aider à s’évader vers els hautes sphères de l’esprit…

Tout ça c’est très beau en théorie, mais si on y regarde de plus près, que voit-on ? Les enfants qui réussissent le mieux à l’école, ce sont les enfants d’enseignants. Pourquoi ? Justement parce que pour eux, l’école n’est pas l’exotisme ou l’évasion, mais le prolongement de leur “culture” familiale.

Ces réflexions pas  très optimistes pourraient me conduire à penser que l’école ne sert à rien… Que tout est joué -tout se joue- au sein de la famille.

Mais alors, j’ai envie de dire à Naouri et aux autres : inutile de dire : “parents, éduquez vos enfants “, tous les parents éduquent leurs enfants à la mesure de leurs possibilités. Ce qu’il faut faire, c’est plutôt éduquer les parents, leur donner les moyens d’aider au mieux leurs enfants. Et ensuite, tout faire pour rendre à l’école son vrai rôle : instruire tous les enfants qui lui sont confiés, leur permettre à tous d’apprendre à apprendre.

Je suis convaincue que l’intérêt de l’école ce n’est pas le contenu des programmes (demandez-moi ce dont je me souviens de mon programme de bio de seconde : on a disséqué une blatte. C’est maigre, vu le nombre d’heures que j’ai passées en cours de bio !), mais c’est de susciter l’intérêt, la curiosité de l’élève, et de lui donner les moyens de chercher (et de trouver) lui-même les réponses aux questions qu’il sera amené à se poser au cours de sa vie. De penser par lui-même, d’exercer son libre arbitre et son esprit critique. (relisez Naouri : pour lui, on doit donner des ordres aux enfants, sans la moindre explication, et ils doivent obéir sans poser de question. Pour moi, c’est comme ça que j’envisage mes rapports avec mon chien. Mais pas avec un autre humain, même si ce dernier n’est âgé que de 4 ans ! ou deux ans ! ou même un mois !!!)

Toutes ces réflexions car en ce moment je suis amenée à beaucoup cogiter sur notre choix de scolariser Malo : en effet, autour de moi presque aucun enfant n’est scolarisé, et dernièrement j’ai assisté à une réunion ayant pour thème “pédagogies alternatives”, et il y avait un monde fou, un nombre incroyable de parents (et même de futurs parents) qui étaient là, car ils se posent des questions sur le rôle de l’école, le choix de scolariser ou non ses enfants, dans une école “traditionnelle” ou une école à “pédagogie alternative”.

Je trouve très bon signe que tous ces gens se posent des questions sur le système scolaire, sur l’école, la pédagogie, l’instruction… Je m’en pose aussi, énormément, mais ma réponse n’est pas, pour l’instant du moins, l’instruction en famille.

Parce que si on pousse le raisonnement jusqu’au bout :

- les enfants qui viennent d’un milieu culturel riche n’ont pas besoin de l’école pour apprendre, s’instruire, se cultiver. Les parents de ces milieux là qui en ont le souhait gardent donc leurs enfants à la maison et pratiquent l’instruction en famille, qui selon moi donne (dans ces conditions là) de très bons résultats, à savoir que l’enfant s’instruit, se cultive, tout en ayant une vie respectueuse de ses rythmes, de sa personnalité.

-Mais quid des enfants issus de milieux culturels défavorisé ? Ceux-là restent à l’école, dont ils ne peuvent pas  tirer grand chose car ils n’ont pas les pré-requis (en particulier un langage riche).

Alors on irait à terme vers une société où l’école serait faite uniquement pour les enfants dont les parents n’ont pas la capacité de les instruire ? Une école réservée aux enfants avec 500 mots de vocabulaire ? Aux enfants des familles qui ignorent ce ce qu’est l’impressionnisme, qui sont Wagner et Homère ?

Alors je ne sais pas trop comment je peux agir là dessus. Je ne sais pas trop comment faire pour que chaque enfant puisse bénéficier du meilleur à l’école et dans sa famille. Je ne sais pas comment faire pour que “l’égalité des chances” devienne une réalité, et pas une douce utopie.

Mais j’adhère à une association de parents d’élèves (fcpe), et je suis assez fière de dire que cette association organise à l’école de notre village (enfin le village d’à côté… L’école de Malo, quoi) des réunions avec les enseignants autour de la violence, pour leur permettre de trouver des solutions pour y remédier… Les enseignants ont d’ailleurs reçu des mallettes pédagogiques et des jeux coopératifs, payés par la dite associations de parents d’élèves.

Ce n’est peut-être pas grand chose, mais ce type d’action me semble capital.

Il est surement encore loin le jour où l’école ser respectueuse de chaque enfant et lui permettra d’accéder au meilleur de lui même. Mais j’y travaille… Je le fais pour mes enfants, bien sûr, mais surtout pour ceux dont les parents ne peuvent pas leur offrir tout ce que moi j’ai la chance d’avoir hérité, et donc de pouvoir transmettre.

Pardon pour ce long post indigeste… Mais ça fait très longtemps que tout ça tourne dans ma tête. J’aurais voulu organiser un peu mieux ma réflexion (il parait que c’est à ça que ça sert, écrire !!),  mais bon…

J’ajoute que j’ai démarré ce blog il y a deux ans et quelques, après avoir laissé un long commentaire sur le blog de Maman Zèbre, en réponse à un de ses billets sur la non scolarisation…  Déjà ce sujet me donnait envie de m’exprimer !

J’attends avec impatience vos remarques z’et commentaires :)

Categorie : education
Par mes vies
Le 2 avril 2008
A 20:33
Commentaires : 5